Campus MaNa est un centre unique de formation professionnelle international pour les créateurs sur un territoire d’exception au coeur de la Bourgogne.

Designer français de formation et infatigable voyageur, Thomas Dariel fonde son agence de design d’intérieur, Dariel Studio, dès l’âge de 24 ans, en 2006 à Shanghai. En 2016, il ouvre un second bureau à Paris.

La même année, et tout en poursuivant son activité de designer d’intérieur, Dariel fait revivre un rêve d’enfance en lançant sa propre marque de mobilier, luminaires, tapis et accessoires, la Maison Dada.

L’originalité de ses créations, sa personnalité et son caractère ambitieux en font une personnalité reconnue : il reçoit de nombreux prix , parmi lesquels le meilleur designer d’intérieur international – 2012 Andrew Martin Awards, est sélectionné par AD Magazine parmi les 100 meilleurs talents en architecture et design (2021, 2019, 2017, 2015 et 2013), par le Top 40 Young Design Talents under 40 (2013), par le Perspective 40 Under 40, et Top 10 Best Designer in China – Vantage Magazine (2016). En 2017, Thomas Dariel est élu The Young Design Talent of the Year par EDIDA China Awards, Design Talent of the Year by Trends et The Person of the Year by Trends Home les magazines. 

Depuis 2020, Thomas Dariel est président des Editeurs Français au sein de l’Ameublement Français. Cette responsabilité lui permet de réunir les forces au sein des Editeurs et de parler d’une seule voix pour mieux promouvoir la création française et ses talents.

En 2021, le prestigieux Mobilier National fait l’acquisition de ses créations.

Début 2022, il reçoit le prix du FRENCH DESIGN 100 remis par le président Emmanuel Macron, récompensant ainsi son travail et asseyant sa position de leader dans l’industrie française. 

Fort de son expérience, il lance au printemps 2023 un nouveau centre de création et de formation autour des Métiers d’Art, du Design et de l’Architecture : le Campus Ma.Na en Bourgogne.

Erwan Bouroullec est un designer français, né à Quimper en 1976.

Son studio est actuellement situé à Paris, mais il dispose aussi d’un autre espace à la campagne en Bourgogne, en France.

En 1998, il est diplômé de l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy.

Depuis 1998, Ronan et Erwan Bouroullec travaillent ensemble. Toutefois, ils développent également des projets de manière indépendante.

Ensemble, ils ont conçu de nombreux projets dans différents domaines. Les principaux éditeurs avec lesquels ils ont collaboré sont Vitra, Hay, Samsung, Flos, Kvadrat, Ligne Roset, Established and Sons, etc.

De nombreuses pièces se trouvent dans les collections d'importantes institutions, telles que le MoMA de New York, the Victoria and Albert Museum de Londres, the Art Institute of Chicago, le Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou de Paris et le Musée des arts décoratifs de Paris.

Leurs créations ont fait l'objet de plusieurs expositions monographiques, notamment au Design Museum (Londres, 2002), au Museum of Contemporary Art - MOCA (Los Angeles, 2004), au Centre Pompidou-Metz (2011), au Victoria & Albert Museum (Londres, 2011), au Museum of Contemporary Art Chicago (2012) et au Musée des Arts décoratifs (Paris, 2013). The Philadelphia Museum of Art a présenté une rétrospective de leur travail en 2021.

De nombreuses monographies ont été publiées, notamment chez Phaidon, dont Works, Phaidon Press London, 2012.

Ronan et Erwan Bouroullec ont reçu de nombreuses récompenses comme le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris, 1998, the London Design Medal, 2014, Meilleurs Designers, the Design Prize, Récompense officielle de la ville de Milan 2017, le Compasso d’Oro, 2022.

Claudio COLUCCI est diplômé de l’école des arts Décoratifs de Genève et de l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle de Paris.

C’est un designer de renom international qui a ouvert des studios à Genève, Paris, Hong-Kong, Tokyo et Beijing. Depuis 2012, il collabore fréquemment avec son fils Fabio.
Le savoir-faire de Claudio COLUCCI se décline en trois axes : la conception de mobilier, le design industriel et l’architecture d’intérieur.

Il a travaillé avec des marques prestigieuses telles que Christofle, Ligne Roset, le groupe Accord, Alain Passart, Caran d’Ache, Vacheron Constantin, Habitat, Kenwood, Renault, Agnès B, Mövenpick ou Hermès. Il a, en outre, collaboré avec des architectes célèbres tels que Philippe Stark, Ron Arad, Nigel Coates ou Pascal Mourgue.

Claudio COLUCCI a été plusieurs fois sacré designer de l’année au salon maison et objet à Paris et par le magazine ELLE Décoration. Il a récemment reçu le 1er prix des métiers d’art en Suisse.
Il vient d’être nommé ambassadeur de la Fondation Michelangelo qui met à l’honneur la créativité et le savoir-faire artisanal et renforce les liens avec le monde du design.

De nombreuses de ses créations ont été exposées dans des musées tels que le Centre Pompidou, la Fondation Cartier à Paris, le Moma à New York ainsi que dans des galeries notoires.
Deux monographies le concernant ont été publiées par les éditions de la Fondation Cartier et NORMA.
Désireux de transmettre son savoir, Claudio COLUCCI accorde une place prépondérante à l’éducation et s’investit pleinement au sein de grandes écoles telles que la HEAD ou l’IPAC Design.
En 2018 l’agence éponyme change de nom pour accueillir Fabio Colucci comme partenaire associé et s’appel ainsi Colucci & Colucci Design et Architecture.

Créateur visionnaire, Jean-Charles de Castelbajac a anticipé ce qui constitue aujourd’hui les bases de la nouvelle création : l’art et la mode, le détournement et les collaborations.

Son travail pluridisciplinaire, art, mode, design, se décline autour d’une gamme chromatique courte, bleu jaune, rouge dont l’une des plus belles représentations a été d’habiller le PapeJean-Paul II, les évêques et les prêtres pour les JMJ de 1997.

Ses vêtements et son art sont habités de sa passion pour l’histoire, le monde de l’enfance etle Pop art. Il a collaboré avec de nombreux artistes dont Keith Haring, Lady Gaga et Robert Mapplethorpe.

Son art s’exprime au travers d’installations, de performances, de street-art à la craie, de dessins et de peintures.

En 2015, il crée une fresque de 3700 m2 pour l’aéroport d’Orly à Paris. En septembre 2018, il réalise une oeuvre monumentale pour la Biennale des antiquaires de Paris au grand palais.

Il crée des collections pour United Colors of Benetton depuis 2018.

Son travail artistique fait l’objet d’une exposition intitulée le Peuple de demain à la galerie des enfants du Centre Pompidou depuis le 25 septembre 2021 jusqu’au 18 juillet 2022.
A cette occasion, le livre « Dessins tout-terrain » regroupant 500 de ses dessins sur 50 ans a été publié chez Flammarion.

En 2022, il est également présent au Mobilier national avec la scénographie de l’exposition No taste for bad taste retraçant les 40 ans du design français, et avec une carte blanche intitulée L’atour d’assises, articulée autour des styles français.

Joost van Bleiswijk est né à Delft et sort diplômé en Design de l’Academy Eindhoven en 2011. Joost travaille principalement sur ses propres collections notamment sur la série « No Glue No Screw » qui est devenue une pièce majeure dans son oeuvre.

Les collections de Joost sont exposées et vendues dans le monde entier dans des galeries et des musées, dont la Moss Gallery à New York, la Galerie Vivid à Rotterdam, le Design Museum Holon en Israël et le Zuiderzee Museum aux Pays-Bas.

En plus de son travail personnel, Joost collabore avec de grands éditeurs comme Ahrend, Bernhardt, Bruut Furniture, City of Eindhoven, Design Connection, Lebesque et Moooi pour qui il dessine la collection de luminaires Construction.

Diplômés en 2000 et 2001 à l’Académie de Design d’Eindhoven, Kiki van Eijk et Joost van Bleiswij partagent leur vie et leur atelier depuis cette époque. Travaillant chacun de manière indépendante, les deux designers développent leur carrière côte à côte mais autour d’un intérêt mutuel et prononcé pour l’artisanat et les objets historiques.

En à peine seize ans, les créations de Kiki van Eijk et Joost van Bleiswijk ont déjà séduit les plus grandes marques et les institutions les plus prestigieuses de la planète. Du Rijksmuseum d’Amsterdam à la galerie Moss de New York.

Kiki van Eijk est née en 1978, aux Pays-Bas. En 2000, elle obtient son diplôme avec mention honorifique de la Design Academy Eindhoven. Son projet de fin d’études, le tapis Kiki Carpet, inspiré d’une broderie, a attiré beaucoup d’attention dans le monde du design.

En 2001, elle ouvre son studio à Eindhoven, qu’elle continue de partager avec le designer Joost van Bleiswijk. Cependant, leur travail est presque toujours réalisé séparément.

Le travail de Kiki van Eijk est souvent très poétique et personnel, et inspiré par la nostalgie et l’artisanat.

Ses designs sont principalement uniques ou en éditions limitées, et ses oeuvres vont des tapis, luminaire, mobilier, céramiques, verrerie aux textiles.

Sa liste de clients comprend Studio Edelkoort Paris, Design Academy Eindhoven, Haans, Moooi, Bernhardt Design, Audax Textile Museum et Hermès.

Le Studio GGSV a été fondé en 2011 par Gaëlle Gabillet et Stéphane Villard. Leur association produit une approche atypique qui va du commissariat au design de recherche, de l’objet à l’architecture intérieure. En parallèle, Stéphane Villard dirige l’atelier de projet INFORME à l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle, ENSCI / Les Ateliers, Paris.

Ils sont lauréats de la Carte Blanche VIA 2011 avec le projet «Objet Trou Noir». Un projet de recherche récompensé par le VIA pour l’utilisation de matière noire issue des déchets ultimes et la relecture d’un électroménager renouant avec les arts de la table et les arts décoratifs autour de la notion de désencombrement.

Objet Trou noir fait aujourd’hui parti des collections permanentes du Centre Pompidou.

Gaëlle Gabillet et Stéphane Villard sont édités par Made in Design, Petite Friture et la Galerie Cat-Berro. Leurs pièces sont régulièrement exposées (MUDAC, Pavillon de l’Arsenal, FRAC, Museum für Angewandte Kunst — Francfort, Biennale Design Saint-Étienne, Center for Contemporary Art Castle of Rivara — Turin, Salon du meuble de Milan). Récemment, ils signent l’architecture intérieure du théâtre de La Commune, centre dramatique national d’Aubervilliers. Ils sont lauréats du prix Paris Shop & Design en 2014 et ont remporté en 2016 le réaménagement interieur du Musée d’art Moderne de la ville de Paris avec H20 architectes.

Ils sont également commissaires d’exposition. Ils signent l’exposition « Form follows information » à la Biennale Internationale de Saint-Etienne en 2015 et l’exposition « Zones de confort » à la Galerie Poirel à Nancy avec Juliette Pollet, conservatrice design au CNAP. Ils ont été invités pour célébrer les 40 ans du Centre Pompidou et imaginer une exposition-atelier à la Galerie des enfants.

Ils donnent régulièrement des conférences sur leur travail (Centre Pompidou Paris, Université paris 8, Pavillon des Arts et du Design, Cité du Design, Musée des Arts Décoratifs, Cité de la mode et du design, Maison & Objet, OCDE, Ecole Camondo, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales,…)

José Lévy est né à Paris.
En totale rupture avec les codes de l’époque, qui exaltent alors les valeurs des années 80, ses collections de vêtements s’inspirent de Tati, Modiano ou Jacques Demy et lui assurent une visibilité immédiate et une audience internationale.
Il obtient plusieurs prix dont celui de la Ville de Paris et expose à la fondation Cartier.

En 13 ans, José Lévy impose son univers sur la scène de la mode masculine et s’affirme à la fois comme un coloriste hors pair et un tailleur au regard précis.
Dans le même temps il enchaîne des collaborations extérieures marquantes en dirigeant le style de Holland & Holland, Nina Ricci, Cacharel et Emanuel Ungaro. Désireux de s’adresser au plus grand nombre, il signe également des collaborations avec Monoprix, La Redoute ou André .

Créateur libre et curieux, éclectique et concentré, il a toujours illustré son regard très personnel en collaborant depuis le début de sa carrière avec de nombreux artistes, photographes et plasticiens, architectes ou musiciens.

Depuis 2007, il se consacre désormais totalement à ce travail de création transversale, entre arts plastiques et arts décoratifs.

En 2009, Il expose chez Emmanuel Perrotin (expo personnelle « Oasis:Luconoctambul! »), chez ToolsGalerie (expo collective « Carpet Stories »), puis à la Manufacture de Sèvres ( expo personnelle « Mousse de Sèvres »), est invité par Maxalto lors de DesignersDays et dessine MaPharmacie, une pharmacie à Paris-Bastille.

En exprimant son univers, José Lévy aime exhumer les souvenirs, les traces du passé, les archétypes, les racines des Maisons qu’il rencontre pour en jouer et y poser un regard libre, distancié et respectueux

Les Ateliers Poyaudins sont une menuiserie opérant dans les secteurs du mobilier, de l’agencement, de la formation professionnelle et de la menuiserie de bâtiment, fondée en 2017 à Saint-Fargeau par Clément Chen. Ce dernier a rapidement été rejoint par de nouveaux associés (personnes de métier autonomes) et collaborateurs (personnes en cours de formation). Ainsi, cette entreprise artisanale se pense sur un mode coopératif. Depuis la fin de la troisième année de l’entreprise, le premier objectif professionnel est atteint : ne travailler que du bois. Le chantier des prochaines années consistera à pérenniser un modèle d’intégration verticale des opérations : de l’arbre à l’ouvrage fini

Le commencement fût la photo pour Tristan COLAFRANCESCO, dans la scène punk de 2009 jusqu’en 2011 en Bretagne.

Il étudie ensuite le métal, d’abord en passant un CAP Métallier chez les Compagnons du Devoir (Maison de Rennes), puis dans l’entreprise Metafer (Entreprise du Patrimoine Vivant). Vient ensuite un deuxième certificat mais cette fois, en ferronnerie d’art dans la Nièvre.

Il fait son expérience dans diverses entreprises de restauration de Patrimoine, métalleries d’Art, industrielles, et contemporaines.  

En 2017 il créé les Ateliers Cola, et travaille depuis avec différents designers, produisant du mobilier, de l’agencement et des objets sur-mesure. 

Son atelier est situé à Avallon, aux portes du Morvan. 

Virginie Lagerbe coloriste-teinturière et alchimiste des jardins, formatrice, conférencière

Après des études de communication et de sciences politiques, Virginie a longtemps travaillé dans le développement touristique de sa région natale, la Bourgogne. Lorsqu’elle s’initie par simple curiosité aux techniques de la teinture naturelle en 2012, elle découvre que les colorants végétaux sont partout présents autour de nous, cachés dans les racines, écorces, bois, feuilles ou fleurs de certaines plantes très communes qui nous entourent. 

Virginie n’a alors qu’une envie : découvrir l’âme colorée que cache son environnement végétal. Le rendu sur fibres teintes a été « percutant » de beauté, car les colorants naturels réagissent différemment en fonction de la nature des fibres. Ce phénomène révèle des harmonies insoupçonnables, apaisantes et intemporelles qui permettent en jouant avec elles de nous relier et d’entrer en résonance avec l’espace naturel qui nous entoure. Chaque essence végétale offre un support de teintes que la scénographie et le design peuvent sublimer pour un prolongement tout en syntonie du jardin vers les intérieurs.

Formation : stages d’initiation et de perfectionnement à la teinture végétale chez Magali Bontoux « l’Herbier en couleurs » (Drome), teinturière chercheuse formée chez Michel Garcia

Prix du patrimoine décerné par l’Institut de France (2019) à l’Abbaye royale de Chaalis (61) pour le travail réalisé en 2018 dans le Jardin d’enfance de Colette (Maison des Illustres) à Saint-Sauveur en Puisaye (89) et l’approche novatrice des jardins par Pérégreen.

Prix Ruban d’Argent décerné par le jury de la fête des plantes au Domaine de Chantilly (2019)

Réalisation en 2019 du nuancier textile révélant l’âme colorée du parc du château de Rosa Bonheur (Maison des Illustres).

Exposition et installations pour le Musée Victor Hugo de Villequier en 2020 (Maison des Illustres) (76), à l’abbaye de Boscherville en 2020 (76), au château de Martainville en 2021 (76) à l’occasion du Bicentenaire de la naissance de Flaubert, au Jardin du Luxembourg à Paris en 2023 (75).

Commissariat d’exposition (2022) pour l’exposition dédiée au botaniste-teinturier rouennais Dambourney (1722-1795) proposée par l’abbaye Saint-Georges de Boscherville (76)

Julie Richoz (1990) est une designer franco-suisse. Après l’obtention de son diplôme de l’ECAL (École Cantonale d’Art de Lausanne), elle travaille avec Pierre Charpin en tant qu’assistante de projets.

En 2012, elle installe son studio de design à Paris où elle développe un style propre, empreint de curiosité et de sensibilité, à travers ses objets. La même année, Julie Richoz remporte le Grand Prix de la Design à la Villa Noailles (Hyères, France).

La designer participe à plusieurs résidences, notamment à la Cité de la Céramique à Sèvres, ainsi qu’au CIRVA (Centre International du Verre et des Arts plastiques) à Marseille. C’est pour elle l’opportunité d’exploiter leurs matériaux et leur savoir-faire. Le fruit de son travail est alors présenté lors d’une exposition solo itinérante à la Design Parade 8 à Hyères, à l’IMM Cologne, et à la semaine du Design à Paris.

Outre sa collaboration avec la Galerie kreo, elle travaille également avec des entreprises comme Alessi, Artecnica.

En 2015, elle reçoit le Swiss Design Award, dans le cadre d’une importante compétition nationale de design en Suisse, organisée chaque année par l’OFC (Office Fédéral de la Culture) depuis 1918.

Études d’architecture à Paris de 1973 à 1980.
Architecte chef de projets chez Claude Vasconi de 1980 à 1987.
Puis chez Aymeric Zublena responsable de l’hôpital Européen Georges Pompidou, de l’école de Mines de Nantes, du pôle universitaire de biologie et physique à Illkirch, de l’immeuble de la DASES à Paris.
Chef d’agence chez Bouchet Neyraud architecture puis chez Michel Beauvais de 2001 à 2004.
Chef de service et directeur de la construction neuve chez Paris Habitat, bailleur social, de 2004 à 2020.

« Se laisser transformer par la forêt »
Expérimenter ou créer in situ, en forêt, avec des chercheurs, des institutions… comme je l’entreprends dans mon travail, est un moyen de s’affranchir de l’idée d’une nature que l’on protège, que l’on étudie, sanctuarise, ou que l’on regarde comme une œuvre d’art : le paysage.

Autrement dit une nature mise à distance depuis l’antiquité, soumise comme objet et séparée du vivant. En construisant l’idée de cohabitation, comme re-construire une biocénose, travailler avec la forêt. Ni soumise, ni dominée, c’est être au côté de, avec. Mais surtout chercher à être transformé en retour, dans ses propres questions de chercheur, d’artiste, dans ses protocoles d’expérimentations, dans ses techniques de « modelage ». Changer les points de vue, agir en réaction. Enfin, je l’espère, contribuer à construire une relation de sujet à sujet, qui semble être la seule réponse, sur le long terme, à l’urgence.
Sara Favriau est diplômée en 2007 de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (atelier de Giuseppe Penone). En 2014, elle est lauréate du Prix Découverte des Amis du Palais de Tokyo et du Prix de la meilleure installation décerné lors de la foire émergente YIA Art Fair. En 2020 elle a commencé une collaboration sur le temps long, avec l’INRAe et des biologistes de l’Unité des Forêts Méditerranéenne. Sara Favriau questionne à la fois l’œuvre et son éco-système, sa circularité. Elle convoque des formes, des symboles et des procédés de nature populaire pour les transposer. Une cabane, une pirogue, un arc, un arbre, le voguing… sont des éléments qui font partie de son vocabulaire formel et conceptuel. C’est une rencontre entre passé, présent et futur qu’elle développe depuis des années. Ce métissage est au cœur de ses intentions : imbriquer la métamorphose, la fiction, et l’essai, dans une forme simple. Selon des actions essentielles, comme un arbre-pirogue qui traverse une mer, pour retrouver une forêt. Une œuvre qui se renouvelle, et par là interroge son statut de sanctuaire (exposition, acquisition), vers un possible statut de vivant (œuvre évolutive, rejouée, transformée, altérée…). Un mélange vertueux approché avec humour, dont la forme poétique existe jusque dans le titre de ses œuvres.

En 2016 Sara Favriau bénéficie d’une exposition personnelle au Palais de Tokyo : « La redite en somme, ne s’amuse pas de sa répétition singulière ». En 2017, elle expose en solo-show au Château de Chaumont, à Independent Brussels et effectue une résidence : « Arts et monde du travail » avec le Ministère de la Culture, en partenariat avec le CNEAI. En 2018, elle participe à la première Biennale de Bangkok Beyond Bliss en tant qu’invitée d’honneur. En 2019, elle effectue la résidence French Los Angeles Exchange (FLAX) et participe à la première Biennale de Rabat. En 2020 elle est invitée à la Villa Noailles pour le Festival International de la Mode où elle expose une installation d’arbres sculptés issus d’une parcelle de forêt étudiée par l’INRAe à côté de Marseille. En 2021, un arbre-pirogue traverse la mer Méditerranée, depuis les salins des Pesquiers à Hyères, où la pirogue a été réalisée, vers la Fondation Carmignac sur l’Ile de Porquerolles.

En 2021/2022, elle effectue une résidence de la Royal Commission RCU and French Agency Afalula, opérée par Manifesto, à AlUla en Arabie Saoudite. Son travail est présent dans de nombreuses collections publiques : FMAC (collection de la ville de Paris), FDAC Essonne, FRAC Normandie Caen, FRAC Centre, MAC VAL (installation pérenne), BAB (Bangkok Art Biennale) …

Designer basée à Paris, Amandine a co-fondé avec son partenaire Aïssa Logerot le studio AC/AL, au sein duquel sa pratique se lie au design à travers la conception d’objets et de mobilier, pour des domaines variés allant de l’industrie à l’artisanat et au luxe (www.ac-al.com). Leur travail a été récompensé à de multiples reprises, et a été exposé dans des musées tels que le Centre Pompidou ou le Musée d’Art Moderne de Paris. Certaines de leurs pièces figurent aussi dans les collections permanentes du MAD. 

En 2009, Amandine a également fondé l’association i.d.o, pensée comme une plateforme participative, riche d’un réseau de diverses compétences mis au service de projets solidaires, et qui s’intéresse à la valorisation des modes de production artisanaux et des conditions d’habitabilité des populations isolées. Son dernier projet, un potager flottant communautaire à base de jacinthe d’eau, a été soutenu par plusieurs fondations et vient d’être réalisé sur le lac Tonlé Sap, au Cambodge (www.ido-project.org).  Amandine est diplômée de l’ENSCI – Les Ateliers (2009) et titulaire d’une certification de l’ESSEC sur les Fondements de l’Entrepreneuriat Social et sur l’Évaluation de la Mesure d’Impact (2020). Elle considère la démarche et le processus créatif comme parties intégrantes du projet, et porte une attention particulière aux usages et aux interactions qui en découlent.

Jacques Ferrier est architecte, urbaniste. Diplômé de l’École d’architecture de Paris-Belleville et de l’École Centrale de Paris, il crée son agence à Paris en 1993 et travaille depuis en France et à l’international. Ses projets s’inscrivent dans une même philosophie : concevoir une architecture et une ville pour une société créative et durable.

Jacques Ferrier est l’auteur de nombreux articles et ouvrages sur l’architecture. Son travail a fait l’objet de monographies, notamment « The architecture of Jacques Ferrier » publiée aux éditions Thames & Hudson, Londres. Jacques Ferrier est Professeur. Il a été nommé Chevalier de l’Ordre National du Mérite et Chevalier des Arts et des Lettres. Pauline Marchetti et Jacques Ferrier collaborent depuis 2008, avec la création du pavillon français pour l’exposition universelle de Shanghai. Depuis, ils ont développé un nombre important de projets tant publics que privés, alliant recherche et architecture.
Leur travail a fait l’objet de plusieurs expositions internationales, notamment « Impressionismus » à l’Architektur Galerie de Berlin ; « Non Oppressive Design » au DOKK1 à Aarhus et « Une vision pour la ville sensuelle » à Shanghai, Pékin, Manille, Singapour, Jakarta et Kuala Lumpur.
Le Centre de design de l’Université du Québec à Montréal leur consacre une exposition monographique, « Entre-Deux », à l’automne 2019.
Ils donnent de nombreuses conférences, notamment à la Harvard Design School de l’Université de Columbia, et au Centre AIA de l’architecture. Leurs travaux ont été publiés dans un large éventail d’ouvrages prestigieux, notamment dans Arca InternationalDetailsNational Geographic et le Time Magazine.

Ruedi Baur, designer, enseignant, chercheur, citoyen d’un « Monde à changer  ». 

Depuis les années 80, Ruedi Baur pense son activité de designer dans le contexte d’un espace civique à transformer. Travaillant dans un premier temps comme graphiste pour de nombreuses institutions culturelles, il organise dès les années 90 un enseignement transdisciplinaire basé sur une recherche critique de la culture du design nourrie par les expériences pratiques développées dans ses ateliers.    

 
Revendiquant très tôt un design interdisciplinaire, il créé dès 1989 le réseau Intégral et dirige jusqu’en 2023, les ateliers : Intégral Ruedi Baur, Paris, Zurich et Berlin puis Intégral designers. En 2004 il créé et dirige avec la sociologue Vera Baur à la ZHdK de Zurich l’institut Design2context, puis en 2011 l’Institut de recherche critique en design Civic-City ; en 2018, la jeune entreprise universitaire 10-milliards-humains.  

Sa Bibliographie permet de suivre son parcours, notamment avec des livres tels que « Architecture-graphisme » (1998), « Des-Orientation 1 et 2 » (2008-09) « Signs for Peace, an impossible visual Encyclopedia » (2012), « Face au brand territorial » (2013), « Un Monde à changer » (2017) « Et soudain le monde fut immobilisé » (2020) … 

Originaire de Paris, Mathieu Luzurier est un artisan ébéniste de Puisaye. Il  a commencé à étudier la biochimie et la bactériologie au lycée. Puis il entre à l’École Boulle et obtient son diplôme d’ébéniste en 4 ans. Il maîtrise l’art de mettre en valeur les multiples essences de bois, tant en massif qu’en placage, par les techniques traditionnelles et modernes. Au cours de son apprentissage, il fréquente plusieurs ateliers, comme ceux de Bernard Mauffret, Marc Desnoyer ou Alexandre Fougea. Mathieu a travaillé pour quelques entreprises à Paris et à Londres (A.K.A Design), et c’est en 2016 qu’il a commencé à diriger sa propre entreprise, en Bourgogne, connue sous le nom de M.A.C. Il fabrique des meubles, des dressings, des cuisines, pose des parquets, etc. Il adapte son travail et son esthétique à l’espace avec un souci du détail pointu. Enfant d’un « touche-à-tout », Mathieu connaît les principales connaissances dans de nombreux domaines de la construction afin de rénover des maisons du sol au plafond. 

Depuis le début de sa carrière, le parti pris de Sophie est celui de la création dans toute sa puissance. Après 16 ans passés à Shanghai dans le monde des arts et du design, Sophie vit désormais à Paris et continue d’être une alliée de terrain des créateurs reconnus et des maisons d’art iconiques.

Du groupe Hermès à l’architecte Wang Shu (Doyen de la prestigieuse l’Académie d’Architecture de Hangzhou), en passant par Puiforcat et les Cristalleries Saint-Louis, Sophie manie avec brio les outils de la communication et du développement de projets pour les plus grands acteurs des industries créative.

Qu’ils soient designers, architectes ou Entreprises du Patrimoine Vivant, Sophie les accompagne depuis plus de 20 ans avec la responsabilité de la construction de leur Image et de leur réputation auprès d’un public choisi – définir le bon positionnement de marque, mettre en place les outils adaptés et donner confiance à ses clients pour toujours viser plus loin est l’engagement de Sophie.

Sophie est également en charge de la communication et des partenariats de Maison Dada.

Sophie est diplômée d’une maîtrise en Langues Etrangères Appliquées à la Communication à Paris X et d’une maîtrise de chinois écrit et oral à l’Université Normale de Shanghai.

Historien et théoricien de l’art, docteur d’état en esthétique et sciences de l’art.

-Secrétaire Général Global Office de l’Association Internationale des Critiques d’Art (regroupant 60 pays et 5500 critiques), association reconnue par l’UNESCO.

Précédemment (sélection) :
-Directeur de l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs, Paris
-Directeur de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles-Ecole Supérieure des Arts
-Directeur scientifique de la Cité Internationale du Design, Saint-Etienne.
-Conseiller du Délégué aux arts plastiques, Ministère de la Culture et de la Communication.
-Inspecteur Général pour la recherche, la création technologique et la recherche, Délégation aux Arts Plastiques, Ministère de la Culture et de la Communication.

Auteur de livres (derniers parus):
-Les écoles d’art qui changent le monde. Utopies et alternatives pédagogiques de 1815 à nos jours. Éditions Hermann, Paris, 2021
-Marcel Duchamp, L’art commence au moment où j’allume une cigarette. Éditions Hermann, Paris, 2018.
-Allais/Klein, Éditions Co-Op, Paris 2018.
-La Lignée Oubliée. Bohème, avant-gardes et art contemporain (de 1830 à nos jours). Editions Hermann, Paris 2017 et Al Dante éditions, Paris, 2004.

Préfaces, articles:
Depuis 1978 , publication d’environ 200 articles (préfaces de catalogues, communications, ouvrages collectifs, etc. ) , correspondant pour des revues françaises, allemandes et canadiennes.

Commissaire d’expositions:
Conception et organisation de nombreuses expositions, colloques et manifestations diverses en France et dans le monde : Allemagne, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Ecosse, Grèce, Hongrie, Suisse, Liban, Egypte, Israël, Corée, Japon, Etats-Unis, Mexique.

Edition:
Création de plusieurs revues et de collections d’ouvrages sur les arts et la culture contemporaine.
Actuellement directeur de la collection Le bon voisin, Éditions Hermann, Paris

Divers:
Participation régulière à des séminaires et colloques . Nombreuses conférences en France et à l’étranger (Suisse, Italie, Angleterre, Pays-Bas, Corée, Japon, Etats-Unis, Mexique, Argentine, Brésil, Israël, Liban, Egypte) .

Raphael Cuir est critique et historien de l’art, docteur de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (Paris). Après avoir occupé différentes fonctions à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, Paris et dans des écoles de la CCIP (Advancia et Négocia), il a été directeur de l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims de 2018 à 2023. De 2012 à 2018 il a été président de l’Association Internationale des Critiques d’Art (AICA France). De 2005 à 2007 il a bénéficié d’une bourse de recherche en résidence au Getty Research Institute à Los Angeles où il a enseigné à Otis College of Art and Design. Il est l’auteur de plusieurs livres dont Renaissance de l’anatomie (Hermann, 2016) et Anatomiquement vôtre, art contemporain et connaissance de soi (Nouvelles éditions Scala, 2018). Il a notamment dirigé le recueil de réponses à la question Pourquoi y-a-t-il de l’art plutôt que rien? (Archibooks, 2009, 2014) et la publication des actes du colloque La Performance, vie de l’archive et actualité (les presses du réel, 2013). Il a également contribué à de nombreux ouvrages parmi lesquels le Dictionnaire des femmes créatrices (Éditions des femmes, 2013), Ouvrir-couvrir (Verdier, 2004), et rédigé de nombreux articles pour des revues comme artpress. Il a organisé et participé à de nombreux colloques et table-rondes en France et à l’international. Il est également commissaire d’expositions (« Ici Plus qu’ailleurs », 2019. « Prix AICA France de la critique, une rétrospective », 2015. « Chapeaux ! Hommage à Robert Filliou », 2014). De 1999 à 2001, il a été coproducteur, concepteur et animateur de Mémoires Actives, première WebTV consacrée à l’Histoire de l’Art et l’art contemporain.

Depuis le début de sa carrière, Hélène s’est passionnée pour les arts au sens large (artisanat d’art, design, art contemporain, architecture, patrimoine, etc.), car elle croit en l’impact de la culture sur la vie publique et sa puissance pour faire grandir les individus. Après un parcours parisien dans des grandes maisons comme Artcurial, Christian Dior ou France Urbaine, Hélène a passé 15 ans en région au service de musées (Unterlinden, à Colmar), de châteaux (Lunéville) ou de collectivités (Mulhouse) dans des projets de développement ambitieux. Hélène vit désormais entre Paris et Champignelles.

Spécialiste du secteur culturel, elle accompagne les acteurs dans la relève de leurs défis, dans le champ de l’organisation, du pilotage de projets, de l’image et de la communication, du marketing, du mécénat ou des publics. Elle les aide à augmenter leur rayonnement et leurs moyens grâce à la mise en oeuvre d'une stratégie de développement efficace et personnalisée.

Hélène est également formatrice auprès d’incubateurs, d’artistes ou de centres d’art sur les questions de dynamisation de parcours professionnel dans le champ culturel.
Hélène est diplômée de l’ESSEC (Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales).

Delphine Moreau est cofondatrice et directrice générale de Maison Dada. Diplômée de l’Institut d’Études Politiques, spécialisée en relations internationales, elle complète sa formation par un master en gestion de projets pour l’industrie culturelle.

Son parcours professionnel est orienté pendant les dix premières années à la promotion des échanges culturels et artistiques internationaux. Cinq ans au Ministère des Affaires étrangères et des collaborations régulières avec les collectivités territoriales lui permettent de travailler au développement de la culture française à l’étranger tout autant qu’à l’accueil des cultures étrangères en France. Elle met ensuite en place un organisme privé dédié à l’amélioration de la mobilité créative en Europe et gère en parallèle programmes de résidence d’artistes et production d’expositions d’art contemporain.

Animée par la passion du design, elle rejoint en 2008 Thomas Dariel et prend la direction du studio d’architecture d’intérieur Dariel Studio. En 2016, ils créent ensemble Maison Dada et Delphine se consacre depuis à la gestion et au développement de la marque dans le monde.

Diplômée du Royal College of Art de Londres, Julie est professeur à la cité du Design de Saint-Etienne. Depuis toujours passionnée par l’éducation, à Shanghai, Julie a créé trois écoles bilingues. Diplômée également de Helen Hamlyn Research, elle a établi des cursus de double-diplômes notamment entre l’ESADSE et Tongji University Shanghai. À ce jour investie dans la création de FABécole, un programme qui intègre les entreprises régionales au cœur de l’école, elle s’engage fortement dans la préservation de l’héritage régional industriel et artisanal. Actrice majeure dans la création d’un lien actif entre le FABlab , la mathériauthèque et l’école, Julie souhaite remettre les talents en devenir au centre de la production locale.

Julie est cofondatrice de l’agence de design WOKrea qui apparait comme une force de conception dans les musées et galeries d’art de premier plan à travers le monde notamment au Museum of Arts and Design (MAD) à New York, au Musée du Design à Londres, au Musée du Design de Holon en Israël et plusieurs expositions internationales de design et d’art. Julie a piloté divers workshops entre autres à Lasalle College of the Arts University à Singapore, Pratt Institute NY, Head Genève, RCA Londres.

Gaëlle est une responsable chevronnée du développement des affaires et de la stratégie, passionnée par l’innovation, la création de valeur et l’adoption du changement technologique. 

Avec plus de 20 ans d’expérience dans les secteurs de la gestion d’actifs et de la technologie, elle a travaillé chez des leaders mondiaux de l’industrie, notamment Credit Suisse, UBS et Cisco Systems, où elle a dirigé des initiatives clés, notamment le développement d’une stratégie Fintech et d’innovation en tant que directrice chez Credit Suisse, ainsi que la conception et la mise en œuvre des meilleures pratiques de veille concurrentielle pour repousser la concurrence émergente chez Cisco Systems. 

Gaëlle a également travaillé avec des entreprises prospères à forte croissance dans des rôles de développement commercial et est mentor Fintech au Startupbootcamp à Londres.

Renaud Sermondade est aujourd’hui Vice-Président et Directeur Général Préscriptions Pharmaceutiques Europe et Moyen Orient au sein du groupe Aptar où il est notamment responsable du plus grand site industriel du groupe Aptar situé au Vaudreuil (27).

Renaud nous apporte une longue expérience du business et de la gestion de la production acquise dans l’industrie où il a exercé avec succès des fonctions de senior management aux seins de grands groupes internationaux comme Bristol Myers Squibb (BMS), Merck et plus récemment Sanofi.

Renaud est diplômé de l’Ecole Centrale de Lyon et a débuté sa carrière en tant que Consultant en stratégie chez A.T. Kearney & Roland Berger Strategy Consultant. Habitué à travailler dans des environnements diversifiés et multiculturels, Renaud a passé une partie de sa vie professionnelle en Chine et aux États-Unis.

Diplômé de l’Université des arts et du design à Karlsruhe en Allemagne. Après un an d’étude au Centre de recherche de Karlsruhe, pionnier dans le domaine de la robotique, Wolfgang s’engage dans l’innovation, la recherche et la création.

Directeur créatif du groupe hôtelier èhotels-lyon comprenant sept établissements en France, Wolfgang a collaboré à la création ’Les Lanternes – Creative Retreat’, domaine naturel de 4 hectares dédié aux séminaires et événements.

Fort d’une expérience internationale entre Londres et Shanghai, Wolfgang est cofondateur de WOkrea depuis 2004 et développe des identités visuelles pour une clientèle internationale comme Bank of Communications Chine et Jim Thompson Thaïlande.

En tant que créateur d’œuvres radicalement engagées, de grandes installations d’art publiques, de produits de moyenne production ainsi que d’éditions limitées, il a gagné plusieurs prix internationaux dont Annual Furniture Design Award, Perspective 40under40, Winner identité visuelle, Muséum of Islamic Art, Type Event Award by the Arts Council England et a été publié dans de nombreuses publications éditées par Phaidon, Thames&Hudson et Carlton Books.

« Diplômée d’un brevet professionnel de la jeunesse et de l’éducation populaire
et du sport, spécialité éducateur sportif des activités équestres, Marjane a
organisé et conduit des actions d’animation et d’enseignement pour tout public.
Elle a collaboré à la gestion de chevaux de sport de haut niveau auprès de
cavaliers nationaux et internationaux avant de rejoindre la société Devoucoux,
spécialisé dans la conception de selles sur mesure en tant que conseillère
technique.
Après dix ans dans le monde équin, Marjane a rejoint l’éducation nationale afin
d’assurer l’encadrement pédagogique et éducatif de jeunes apprenants au sein
d’un établissement public local d’enseignement et de formation professionnelle
agricoles, lieu de réflexion et d’expérimentation de techniques et méthodes
visant à la résilience écologique et contribuant à la réduction des impacts
environnementaux de l’activité agricole et à la valorisation de nouvelles filières
telle que la bioéconomie »
Marjane est désormais en charge de la supervision et du bon déroulé des
actions du Campus MaNa.

En 1992 naissait le collectif Radi Designers (comprenez Rercherche Autoproduction Design Industriel), composé de 5 membres tous issus de l'Ecole Les Ateliers : Laurent Massaloux, Olivier Sidet, Robert Stadler, Florence Doléac et Claudio Colucci. Un collectif qui joue avec les gestes et les typologies de la vie quotidienne.

Dans les années 90, les RADI designers travaillaient autour de projets aussi divers que la conception d'objets ou l'aménagement d'espaces. Ils subvertissent les évidences de la vie quotidienne à travers des objets-produits-meubles-gadgets. Figures emblématiques du nouveau design français, les RADI designers manipulent les codes, les usages, les techniques, les formes, avec une inventivité effrénée.

Les membres du groupe RADI designers se sont rencontrés à l'Ecole nationale supérieure de création industrielle. Leur travail individuel ou en groupe les conduit à répondre à des commandes variées, mais aussi à proposer librement objets et scénarios.

En 1998, ils présentent leur première exposition personnelle à la galerie Emmanuel Perrotin.

En 1999, une installation leur est confiée par la Fondation Cartier pour l'art contemporain. L'installation est ensuite présentée au Japon et Séoul.

Les Radi designers ont été élus "Créateurs de l'année 2000" par le Salon du meuble à Paris alors qu'ils réalisent une scénographie d'exposition pour le Musée de la mode et du textile. Ils s'attaquent également au design urbain en réalisant une fontaine publique représentant deux silhouettes de femmes porteuses d'eau.. En 2001, la galerie new-yorkaise Sandra Gering a organisé une exposition personnelle du groupe pour la première fois aux Etats-Unis.

Après des études supérieures en langues et affaires étrangères en Chine, Xinxuan a reçu une bourse d’excellence de l’Ambassade de France pour continuer sa formation en France. Elle a ensuite été diplômée du programme Grande École de l’école Audencia Nantes, et d’un Mastère spécialisé en Marketing Design & Création, programme conjoint d’Audencia Nantes, de l’École Centrale de Nantes et de l’École de design Nantes Atlantique.

Depuis 2015, Xinxuan travaille sur des projets biculturels entre l’Europe et la Chine et a su au fil de ses expériences développer une grande maîtrise de la communication interculturelle. Depuis 2018, Xinxuan s’est spécialisée dans le design et l’art de vivre, notamment en co-foundant le prix Maison&Objet Design Award China, cocréé avec MAISON&OBJET, et dont le but est d’aider les designers et les marques chinoises d’exception à se faire connaitre sur la scène internationale et de créer des liens avec des professionnels de l’industrie dans le monde entier.

Xinxuan est membre de la Architecture and Culture Society of China et a une connaissance approfondie des différents acteurs du design dans les différentes régions de Chine. Xinxuan s’attache à assurer une bonne compréhension, une bonne entente culturelle ainsi qu’une bonne gestion des relations entre les partenaires chinois et européens.

« Apporter quelque chose aux gens plutôt que faire du design »

Matali Crasset, designer française reconnue internationalement, combine l'art, l'anthropologie et le social dans son approche du design. Elle privilégie la création de liens entre les individus et leur environnement. En 30 ans de carrière, elle a travaillé sur divers projets, de l'architecture à la scénographie en passant par la conception d'objets et d'espaces publics. Ses œuvres sont exposées dans des institutions prestigieuses et font partie de grandes collections de design. Elle analyse chaque projet en profondeur et remet en question les évidences pour révéler leur potentiel créatif. Elle valorise les ressources locales, la participation communautaire et l'intégration d'ateliers avec des établissements scolaires. Matali Crasset est personnellement impliquée à toutes les étapes de conception et de création, avec un studio favorisant une approche individualisée. Elle collabore avec l'industrie pour un design accessible et promeut le savoir-faire français. Elle crée des espaces publics urbains inclusifs, des lieux de vie accueillants et des espaces pour enfants axés sur le développement. En plus de son travail en design, elle s'engage dans l'enseignement et la transmission. Son approche intègre une dimension artistique et met en valeur la créativité et l'expérience esthétique.

L’enseignement et la transmission

matali crasset conçoit son métier de designer dans la transmission. Elle a donné plus de deux cents conférences à travers le monde, elle enseigne à la Head de Genève depuis 2010 et intervient dans de nombreux colloques et jurys.

Quelques exemples : professeur à l’ENS Paris-Saclay de 2017 à 2019 pour le projet L’Atelier des communs, workshop NID à Ahmedbabad, Inde…

Où voir, où lire, où comprendre le travail de matali

Les éditions Rizzoli ont publié une monographie en 2012 retraçant son parcours (en français aux éditions Norma). Récemment les éditions des presses du Réel ont publié « TITRE », un ouvrage de dessins réalisés pendant le confinement du printemps 2020.

France Culture a réalisé plusieurs émissions dont une suite de cinq enregistrements pour A voix nue par Camille Juza en 2018 et une master classe animée par Arnaud Laporte, 2017.

Un film documentaire de 52 minutes a été réalisé en 2019 par Rémy Batteault produit par Cocottes minute et coproduit par le centre Pompidou pour France 5.

Nathalie Junod Ponsard crée des installations et œuvres lumineuses qui transforment les espaces et tendent à déstabiliser nos repères habituels. Ces œuvres engendrent des sensations d’énergie suscitant notamment une modification physiologique de nos repères perceptifs. L’artiste a exposé dans des musées nationaux et a participé à des expositions internationales : Biennales de Suzhou, Chine (2023), de Singapour, Licht Kunst Biennale en Allemagne, Galerie Guggenheim (Los Angeles), Luce di Pietra (Palais Farnèse, Rome), Galerie des Gobelins, Festival de France en Inde, Singapore Art Museum, Centre Pompidou Paris, 1ère Nuit Blanche (piscine Pontoise), Gaité Lyrique Paris, Musée de l’Oural (Ekaterinbourg, Russie), elle a représenté la France à la Western China Biennale (2017), musée Luxelakes A4 (Chengdu, Chine), musée de la Chasse et de la Nature à Paris. Elle a réalisé des œuvres permanentes et monumentales : commandes publiques du ministère de la Culture et CNAP sur la place Malraux et sur la Galerie des Gobelins à Paris, musée MACRO à Rome, ou privées : sur l’immeuble Austerlitz à Paris, sur la maison Hermès à Barcelone (2022). En Chine, le musée MOCA Chengdu a présenté une exposition rétrospective de son œuvre en 2014. Des expositions personnelles à la Fondation EDF, au Bauhaus de Dessau, à New Delhi sur le site astronomique indien Jantar Mantar, à la galerie Delacroix à Tanger, la Maison Louis Carré (Yvelines), The Temple à Pékin, musée Palaexpo Rome. En 2021, elle a créé une œuvre-tapis (commande du Mobilier national) pour l’escalier Murat du Palais de l’Élysée.

Elle étudie à l’École nationale supérieure d’Arts de Paris-Cergy, puis à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris. De 1983 à 1985, directrice artistique à Topologies – Publicis Conseil, elle conçoit des identités et des campagnes institutionnelles pour les ministères (droits de la femme, Éducation nationale, Formation professionnelle). En 1985, elle fonde l’agence Polymago. Juliette revendique sa pratique comme une attitude, qui se manifeste par la singularité de l’écoute, de la réponse et par l’expérience toujours questionnée des métiers et des techniques du design graphique. Ses créations s’appliquent à composer des mots, des images et des signes pour enrichir la portée imaginaire des messages. Sa démarche tend à prouver que la réalité d’une image ne s’estime pas seulement par des paramètres esthétiques, mais qu’elle procède aussi d’une demande sociale, d’une pensée plastique et d’une éthique. En 1991, après avoir créé l’identité du domaine national de Versailles, elle crée en 1999 celle du musée du quai Branly, puis, l’identité et la signalétique du musée des Beaux-Arts de Dijon, le graphisme des expositions « Dalí » Centre Georges Pompidou et « Cosa Mentale » au Centre Beaubourg Metz. Depuis 2016, elle dirige l’agence LMpolymago, poursuivant ses fidèles collaborations avec le domaine national de Versailles, le musée du quai Branly, les établissement d’aménagement urbains. En 2020, elle conçoit la signalétique et l’identité de la Bibliothèque métropolitaine d’Auvergne et en 2022, l’identité de la communication de « Nice 2028, capitale européenne de la culture ». La même année, le Louvre l’appelle pour concevoir l’information autour du chantier de restauration du Carousel dans les Tuileries. En 2023, Le domaine national de Versailles lui confie l’habillage de la palissade du chantier de la grille d’honneur. Avec son équipe, elle propose une réflexion complète sur les identités, les éditions, la communication et la signalétique. Elle conçoit des univers graphiques et sémantiques, adaptés à chaque nouveau sujet. Sa démarche s’appuie sur son expérience et sur son expertise des métiers du design graphique, autour du conseil, de la direction artistique, de la création et de la coordination d’équipes pluridisciplinaires

En 2002, le bureau de design Studio Makkink & Bey a été fondé par la designer-architecte Rianne Makkink et le designer Jurgen Bey. Les nombreux projets du studio vont du design d'intérieur, du design de produits, des projets d'espaces publics, de l'architecture, de la conception d'expositions et de vitrines aux projets de recherche et d'arts appliqués. Depuis 2012, le studio gère son propre projet « Waterschool », qui est récompensé aux Dutch Design Awards en 2022.

Rianne Makkink a enseigné dans plusieurs universités et académies dans le domaine de l'architecture et du design, notamment l'université MARD de Londres (EN), l'Université de Gand (BE), l'Art Academy Linz (AT) et la Design Academy Eindhoven et Arnhem. (NL) et l'Université Technique de Delft (NL).

Dominique Jakob, née en France, est diplômée de l’école d’architecture Paris-Villemin (1991) et titulaire d’une licence en histoire de l’art (Université Paris I). En 1998 Dominique Jakob et Brendan MacFarlane ont fondé l’agence Jakob+MacFarlane. Dominique a enseigné à l’école
d’architecture Paris-Villemin et Paris-Malaquais, à l’école spéciale d’architecture, ainsi qu’au Southern California Institute of Architecture de Los Angeles. Elle a été nommée Femme Architecte de l’année 2019 par l’Association pour la Recherche sur la Ville et l’Habitat (ARVHA). Elle est membre titulaire de l’Académie française d’Architecture depuis 2016.

Brendan MacFarlane, né en Nouvelle-Zélande, est diplômé du Southern California Institute of Architecture de Los Angeles (Sci-Arc) (1984) et titulaire d’un master de la Harvard Graduate School of Design de Boston (1990). Il a enseigné à la Bartlett School of Architecture de Londres, à l’Architectural Association de Londres, à l’école spéciale d’architecture de Paris, au Sci-Arc et à la Harvard Graduate School of Design. Jakob+MacFarlane ont été les initiateurs de la section française de ‘Architects Declare’ (Les Architectes Français se mobilisent face à l’Urgence Climatique et Ecologique) ; ses projets ‘Energy Plug’ en France et ‘Living Landscape’ en Islande sont lauréats du concours mondial C40 Reinventing Cities. Ils donnent des conférences et exposent leurs œuvres au niveau international, avec la participation à la 2021 Seoul Biennale of Architecture and Urbanism et à la COP26 à Glasgow parmi les examples récents.

Après des études de design textile surface, Sandrine Beaudun a travaillé à la création d’imprimés pour la haute couture, de motifs pour l’art de la table et à

l’élaboration de cahiers de tendances pour des bureaux de style parisiens.

En 2008 elle éprouve intuitivement la nécessité de revenir à la question du support, et de l'interroger, comme une source d'expression fondamentale et plus personnelle.

Elle apprend alors la technique de fabrication Japonaise de la feuille de papier et plus particulièrement la fibre de Kozo (murier japonais).

La "feuille" devient pour elle, un champ d' expériences et de rencontres avec le vivant dans ce qu'il a de plus créatif, où imaginaire et création peuvent s'exprimer.

La "feuille” devient mue, peau et fait oeuvre tant par ce qui la constitue que par le temps de sa réalisation.

C'est alors un processus qui s'installe, un dialogue physique qui s'instaure

avec la matière de la fabrication à l'exposition.

Née le 2 janvier 1967 à Paris

Session de perfectionnement et de recherches en création papier en 2011. Formation à la technique des grands formats en 2016 auprès de Miki Nakamura et Jean-Michel Letellier à Trélazet France.

PRIX

2020: 1er Prix de la Création pour la pièce ”Arbre de vie 2 ” au concours régional Bourgogne Franche-comté des Ateliers d’Art de France.

2104: 1er Prix de la création pour la pièce ” Comme s’il en pleuvait ” à la 8ème Triennale internationale du papier. Musée du Papier à Charmey. Suisse.

EXPOSITIONS :

2023 : ” SÈVE ” Château de Ratilly • Treigny

” LIMBES ” galerie de l’Escalier • Brumath 67170

” Les rêves illustrés ” • Auxerre 89000

2022: ” PRINTEMPS DU PAPIER ” 1ère édition • Beaulieu les loches

” PORTES OUVERTES ATELIERS ARTISTES ” • Val d’ocre

2021: ” PORTES OUVERTES ATELIERS ARTISTES ” • Val d’ocre

” GRANGE DU PRIEURÉ ” La fierté Loupière

” ARCITÉ LA VINGTIÈME ” • Fontenay-sous-Bois

” SIG ‘NATURE’ ” • Galerie Domaine de l’Ocrerie • Pourrain

” GRANDS FORMATS ” Abbaye saint-germain • Auxerre

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2020: VERSION ORIGINALE 2 ” Centre Tignous d’Art contemporain

de Montreuil • Montreuil sous Bois

” MASCULIN FÉMININ ” Atelier 19 • Saint-Aubin-Château-Neuf

” PRENDRE RACINE ” Galerie Mouv’art • Auxerre

” ET MAINTENANT? ” Atelier 19 • Saint-Aubin-Château-Neuf

” CENT TITRE(S)” Atelier Rochebrune • Paris

2019: ” BIENNALE ART CONTEMPORAIN • Le PECQ

” PEAU D’ARBRE ” Musée J. Larcena • Saint-Aubin-Château-Neuf

” PAPIER À FLEUR DE PEAU ” • La celle Saint-Cloud

” FIBRE SENSIBLE ” Maison des métiers d’art • Marseille

2018: ” HARMONIE AU FÉMININ” Mairie 8ème • Paris

” BLANCS ” Galerie Abstract projet • Paris

” TRAJECTOIRES ET DÉPLACEMENTS” Biennale Art

Contemporain • Cachan

” PORTES OUVERTES ” • Atelier d’artistes • Fontenay-sous-Bois

2017: “ À FLEUR DE FIBRE “ Larocafé • Romainville.

“ RÉSONNANCES ” Galerie l’ Écu de France ” • Viroflay

” EMPREINTES ” Ateliers Art de France • Paris

” PORTES OUVERTES ” • Atelier de Thierry Arensma • Montreuil

” LA LIGNE ET LE SILENCE ” Galerie Jeunes Territoires • Paris

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2016: “ #PAPIER “ Galerie Collection AAF • Paris.

“ JARDINS DE PAPIER “ Moulin Du Got • Saint-Léonard de Noblat.

“ MACPARIS " • Salon d' art contemporain • Paris

“ CARTE BLANCHE AU PAPIER “ Les procédés Chenel • Paris

2015: " MACPARIS " • Salon d' art contemporain • Paris

" RDV d ART " • Espace Christiane Peugeot • Paris.

" WATER- FIBER- PAPERr- METAMORPHOSE "• Biennale internationale des Arts du Papier • New Brewery Arts Center • Angleterre • France • Taiwan • Suisse.

2014: " CECI N’EST PAS UN CONTENANT " Galerie Collection des Ateliers Art de France • Paris.

" AU FUR ET À MESURE » Galerie l'art à Palabres • Montreuil- sous- bois.

" LES ANNEAUX CÉLESTES " GalerieTalents AAF • Paris.

" CLAIRS OBSCURS " Galerie collection AAF • Paris.

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2013 : " PEAU D’ARBRE ” Galerie Alexandre de Laigue •Paris.

" DÉLIRES DE LIVRES " • Collègiale Saint- André • Chartres.

" VISIONS " Art Cité • Fontenay- Sous - Bois.

2012 : " AUTOUR DU VÉGÉTAL " Galerie 'NO •Paris.

" CONFRONTATION " Art Cité - Fontenay- Sous - Bois.

2011 : - " SENS " Art cité • Fontenay- Sous - Bois.

INTERVENTIONS HORS LES MURS DE L’ATELIER

2023: Résidence artistique autour de la fabrication de papiers végétaux et de dentelles de feuilles avec les classes de CP/CE1/ CE2 de l’école élémentaire de Domats 89150, initié par l’ association Hors cadre.

2020: Initiation à la technique de fabrication de papier végétal et création collective avec les classes de 4ème du collège ” La croix de l’orme ” à Montholon 89110.

2013: Stage d’initiation et de création de papier végétal avec la classe préparatoire de broderie du lycée ” La Source” à Nogent sur Marne 94120.

À L’ATELIER:

Depuis 2013: Stages d’initiation à la fabrication de papier végétal suivant la technique traditionnelle japonaise et de création papier. Tout public.

Depuis 2021: Stages de fabrication d’encres végétales. Tout public.

depuis 2023: Stages de fabrication et de cuissons de plantes et de dentelles de feuilles.

Vit et travaille à Château-Chalon et Le Pré Saint Gervais.

Bernard Moninot s’est formé aux Beaux-Arts de Paris de 1967-1972.

De 1983 à 2006 il a été Professeur aux Beaux-Arts de Bourges, Angers et Nantes, et de 2006 à 2015 aux Beaux-Arts de Paris.

Parmi ses principales expositions on peut mentionner : 1971 et 1973 Biennale de Paris. 1974 Musée d’Art moderne de Saint-Étienne. 1977 DocumentaVI, Kassel. 1979 Fondation Maeght. 1980 Musée d'art moderne de la Ville de Paris. 1997 Galerie Nationale du Jeu de Paume, Paris. 1998 Fruit Market Gallery, Edimbourg. 2001 National Gallery of Modern Art, Bombay et Delhi. 2010 MACVAL de Vitry. 2013 Musée Jean Cocteau, Menton. 2014 Cabinet des dessins Jean Bonna, Beaux-Arts de Paris. -BERNARD MONINOT "Le dessin élargi » exposition personnelle 2021 Centre d’Art de Kerguéhennec -2021-2022 : Muséede l’ hospice Saint Roch à Issoudun et Fondation Maeght. (Catalogue Préfacé par Catherine Millet et Jean Luc Nancy).

Publications récentes :

2012 -Monographie par Jean-Christophe Bailly, André Dimanche éditeur.

2014 - Bernard Moninot, Dessin(s) parJean Luc Nancy. Editions Beaux-Arts de Paris

2020-Un toucher aérien –édition ARTGO&cie, une correspondance dessins et textes avec le Poète Bernard Noël,préface de Renaud Ego

2021- «Prendre le temps de Vitesse, Textes et entretiens 1972-2021 réunis et préfacé par Renaud Ego, édité par L’Atelier contemporain

2021- « Le dessin élargi » , Catalogue de l’ exposition itinérante . Textes de Catherine Millet, et Jean Luc Nancy éditeur : IN FINE

2021 –« La mémoire du vent » livre d’artiste Lauréat 2021 de la Bourse ARCANE décernée par l’ADAGP Texte de Renaud Ego, Editions de La canopée (Thierry Le Saec) Site internet (En cours de ré-actualisation) www.bernardmoninot.com

Né en 1962, il entre à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris en 1980, et poursuit ses études à la Glasgow School of Art puis à l’Istituto Europeo di Design à Milan.

Il rejoint en 1985 l’agence de création visuel design Jean Widmer à Paris. Pendant dix ans, il y exerce une activité de graphiste / chef de projet, centrée sur la création d'identités visuelles dans le domaine culturel : Centre Pompidou, Grande Galerie du Museum national d’histoire naturelle, Bibliothèque nationale de France, direction des musées de France, etc.

En 1987, il conçoit la communication de l’Institut du monde arabe pour son ouverture et développe depuis une collaboration fidèle et fructueuse. Pour le 25e anniversaire de son inauguration, il imagine et dirige la création du caractère Mondara qui permet une concordance entre les systèmes d'écriture arabe et latin.

En 1991, il est nommé enseignant à la Parson’s School of Art de Paris puis à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs dans le secteur design graphique. Il assure également en 1996, durant un semestre, la direction d’une unité volante à l’ÉNSCI ; il entretient depuis des collaborations régulières notamment lors de la refonte de l'identité visuelle sous la direction de Emmanuel Fessy.

Il fonde l’agence de design graphique c-album en 1996 avec Anne-Lene Proff et Jean-Baptiste Taisne ; Tiphaine Massari, Anna Radecka et Agathe Hondré complètent l'équipe des associés fondateurs. Depuis 2005, il partage sa plateforme de travail avec l'agence de scénographie NC Nathalie Crinière avec qui il collabore sur de nombreux projets de muséographie, notamment pour la signalétique du Louvre à Abou Dhabi ou le graphisme d'exposition pour des institutions culturelles.

Il collabore régulièrement avec la RATP pour la création d'événements éphémères dans les stations du métro parisien : opération "Pharaon descend à Pyramides" pour la promotion de l'exposition "Pharaon" à l'Institut du monde arabe, performance Métroscope à la station fantôme Saint-Martin dans le cadre des nuits blanches avec l'EnsAD, ou scénographie de la station Croix-Rouge pour la promotion de l'exposition l'Enfer à la Bibliothèque Nationale de France par exemple.

Il pilote depuis 2012 l’identité visuelle de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais pour laquelle il reçoit le prix du club des directeurs artistiques et, en 2013, est désigné lauréat de la consultation pour l'identité visuelle de la future Maison de l'Histoire Européenne au Parlement Européen de Bruxelles.

Sous la direction de Anne Baldassari, il travaille sur la nouvelle ligne graphique du Musée Picasso qui a ouvert ses portes en octobre 2014. En 2015, il remporte la consultation portant sur la refonte de l'identité visuelle de l’International Council of Museums (ICOM) ainsi que celle de la Comédie Française sous la direction de Eric Ruf.

Avec les associés de c-album, il se lance dans l’édition en design en créant l’agence Polygonia. Il développe, en lien avec l’identité propre à chaque institution, des

gammes de produits que l’on retrouve dans les boutiques du Chateau de Versailles, du Musée des Invalides ou au Musée de la Renaissance au Chateau d’Ecouen par exemple.

Depuis 2017, il intervient régulièrement pour la Fondation Louis Vuitton en signant la conception graphique de plusieurs expositions telles que la "collection Chtchoukine », la retrospective du MoMA ou encore les monographies consacrées à Basquiat et Egon Schiele.

En 2018, le Museum national d’Histoire Naturelle lui confie une mission de conseil sur l’évolution de son identité visuelle et son architecture de marque qui entrainent une refonte du sceau historique et la création d’un nouveau caractère dédié : le buffon.

En 2021, il remporte l’appel d’offre relatif à la communication graphique du Musée des Confluences à Lyon et est appelé par le Diocèse de Paris pour travailler sur le programme signalétique de réouverture de Notre-Dame de Paris.

Rercherche Autoproduction Design Industriel, est un groupe de designers industriels né en 1992. Il est composé de 5 membres tous issus de l'ENSCI Les Ateliers : Laurent Massaloux, Olivier Sidet, Robert Stadler, Florence Doléac et Claudio Colucci. Les Radi Designers se réunissent pour mettre leurs talents en commun sur des projets variés touchant au design industriel, à l'aménagement de l'espace, à la scénographie ou encore à la production d'objets en édition limitée.

Chacun des membres exerce en parallèle une activité personnelle et alterne ainsi entre travail individuel et collectif, ce qui agit comme un « moteur » pour le groupe.

Parmi les travaux les plus célèbres du Radi on peut citer l'élégant verre Schweppes ou l'ergonomique plateau repas d'Air France. Mais ce n'est là qu'un petit aperçu du travail très éclectique de ce groupe de designers touche-à-tout qui manipulent les codes, les usages avec une imagination effrénée et beaucoup d’humour.

Enseignante et chercheure en arts du spectacle

Laure Fernandez est enseignante et chercheure en arts du spectacle, associée à l'UMR Thalim (CNRS, Université Sorbonne Nouvelle, ENS). Depuis son doctorat qui proposait une approche de la théâtralité dans les arts visuels, son travail – à la croisée de l'esthétique, de l'histoire et de la théorie des arts – porte sur les formes scéniques contemporaines (théâtre, danse, performance) et les transferts artistiques. Elle poursuit une activité d'enseignement, de direction de mémoires et de diplômes en écoles nationales supérieures d'art et de design. Récemment, elle a codirigé avec Bénédicte Boisson (Université Rennes 2) et Éric Vautrin (Vidy-Lausanne) le projet de recherche « NoTHx-Nouvelles Théâtralités », dont le séminaire a été accueilli par Philippe Quesne et le théâtre Nanterre-Amandiers, avant de donner lieu à une publication (Le Cinquième Mur - scènes contemporaines & nouvelles théâtralités, Les presses du réel, 2021). Elle codirige actuellement avec Bénédicte Boisson le projet de recherche « RELIRE : Refaire les liens, inverser le regard (pratiques, discours et histoire du théâtre, de la performance et des scènes performantielles – 1950-2020) ».

Architecte

Olivier Vadrot est né en 1970. Il vit et travaille à Beaune, en Bourgogne. Sa carrière s’est très tôt déterminée à la croisée de nombreux domaines : l’architecture, le design, le commissariat et la scénographie d’exposition, la scène théâtrale et musicale. En parallèle de ses études à l’École d’architecture de Lyon, il se lance dans l’aventure collective du Théâtre Pluzdank (1996-2001). Il cofonde le centre d’art contemporain La Salle de bains à Lyon (1999) puis le groupe Cocktail Designers (2004) au sein duquel il conçoit plusieurs dispositifs d’écoute pour des labels musicaux (Le Kiosque électronique, 2004 ; Icosajack, 2007). Son séjour à la Villa Médicis en tant que scénographe (2012-2013) marque un important tournant dans son parcours.

Du Circo minimo conçu lors de cette résidence à l’Enquête Cavea, qui l’a ensuite conduit à faire des relevés dans la plupart des édifices de spectacle antiques, sa pratique personnelle s’est récemment affirmée en se recentrant autour de micro-architectures permettant de faire assemblée (Faire c’est dire, 2017), de façonner le collectif (Les Tribunes, 2015), de catalyser des débats (Cavea, 2016). Si certains de ces dispositifs sont nomades, reproductibles et éphémères, réduits à des formes essentielles et réalisés dans des matériaux peu coûteux, d’autres ont été plus durablement implantés dans l’espace public (Conversations, 2018 ; Orchestre, 2018 ; Les cercles lieurs, 2023). Un premier ouvrage monographique, ayant pour titre Mêlées, lui a été consacré en 2020 aux éditions Catalogue Général, Paris.

Sébastien Gschwind est sculpteur, il est né en 1973 en Alsace, en région frontalière, à la croisée de la Suisse et de l’Allemagne. Il est diplômé de l’école nationale supérieure d’art de Nancy où il étudie de 1993 à 1999. Sa pratique plastique est multiple, il investit régulièrement les champs de l’architecture, du design et de la performance. Il a travaillé au sein de l’atelier graphique Polymago à Paris. En 2003 il a été remarqué et nommé au prix de la première œuvre par le Moniteur d’architecture en tant que co-auteur d’une maison préfabriquée en acier. À partir de 2006 il vit à Berlin et fonde Happyfew galerie et atelier de design. En 2011, de retour en France, il est résident du programme artistique de la fondation d’entreprise Hermès et accompagné par les artisans de la manufacture de Saint-Antoine, il conçoit Un genre humain, sculpture totémique et vagabonde. Il a donné plusieurs performances au sein du Générateur à Gentilly. Depuis 2001, il collabore régulièrement avec Emmanuel Saulnier. Il enseigne dans les écoles des beaux-arts et d’architecture depuis 2009. Il est actuellement maître de conférences associé à l’école nationale supérieure d’architecture de Paris Val-de-Seine. Il vit à Paris, ses ateliers sont en Seine-et-Marne.

Brendan MacFarlane, né en Nouvelle-Zélande, est diplômé du Southern California Institute of Architecture de Los Angeles (Sci-Arc) (1984) et titulaire d’un master de la Harvard Graduate School of Design de Boston (1990). Il a enseigné à la Bartlett School of Architecture de Londres, à l’Architectural Association de Londres, à l’école spéciale d’architecture de Paris, au Sci-Arc et à la Harvard Graduate School of Design. Jakob+MacFarlane ont été les initiateurs de la section française de ‘Architects Declare’ (Les Architectes Français se mobilisent face à l’Urgence Climatique et Ecologique) ; ses projets ‘Energy Plug’ en France et ‘Living Landscape’ en Islande sont lauréats du concours mondial C40 Reinventing Cities. Ils donnent des conférences et exposent leurs œuvres au niveau international, avec la participation à la 2021 Seoul Biennale of Architecture and Urbanism et à la COP26 à Glasgow parmi les examples récents.

Diplômé de scénographie à l’Ecole nationale Supérieure des arts décoratifs en 2018.Il participe en tant que créateur lumière et régisseur général à de nombreux évènements organisés par l’ENSAD.

Parallèlement à ses études il travaille en tant que scénographe avec différents metteurs en scène diplômés du CNSAD. L’agence Villa d’Alésia lui permet d’élargir ses compétences, et de différentes vitrines pour l’Atelier Renault. En 2019, il continue son travail de scénographe sur différents spectacles tout en travaillant en tant que concepteur lumière d’exposition et d’architecture pour l’entreprise Gelatic. Cette nouvelle discipline lui permet de prolonger un dialogue entre la lumière muséographique et la scénographie théâtrale.

Designer industriel inventif, Alexandre Echasseriau allie savoir-faire artisanal et design pour réaliser des projets d’une infinie diversité. Formé au tournage ornemental à l’Ecole Boulle, il y apprend pendant trois ans de nombreuses techniques liées aux métaux. Il s’oriente ensuite vers l’ENSCI Les Ateliers, en design industriel dont il sortira avec les félicitations du jury en juin 2013. Révélé à l’occasion des Audi Talent Awards 2014, le designer surprend avec ses collaborations inédites et originales reflétant sa nature d’entrepreneur curieux. Quelques années plus tard, Alexandre Echasseriau assure le design industriel du pôle aviation générale de l’entreprise Daher, une riche collaboration avec les équipes internes qui a permis à son projet Tiny House de voir le jour. À l’image de son atelier roulant ou flying FabLab, curieux et observateur, Alexandre puise dans son âme d’enfant et s’inscrit dans une démarche de création ludique ; en témoignent ses projets jeunes publics pour le Centre Pompidou, ou sa collaboration avec l’entreprise bretonne Seederal pour le design d’un tracteur électrique. Alexandre crée du lien entre les savoirs passés et les innovations futures et donne forme à la science. Il invite les prochaines générations à étendre leurs connaissances artistiques, mettant la transmission au cœur de ses projets.

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